Les 50 meilleurs joueurs du Canadiens de Montréal
#50 – Mark Recchi
Embed from Getty ImagesMark Recchi a été acquis dans une méga transaction qui envoya Éric Desjardins, Gilbert Dionne et John Leclair à Philadelphie. Si la transaction fait encore mal à la mémoire de certains partisan, il reste que Mark Recchi était tout un joueur. Oui, John Leclair deviendra une vedette dans l’uniforme des Flyers, et Éric Desjadins reste l’un des défenseurs les plus sous-estimés de l’histoire, mais Mark Recchi a donné trois bonnes années au Canadiens. Il fut finalement réchangé aux Flyers lors de la raison 98-99. Le CH a reçu en échange des choix aux repêchage et l’attaquant Danius Zubrus.
#49 – Eric Desjardins
Embed from Getty ImagesOriginaire de Rouyn en Abitibi, Eric Desjardins portera l’uniforme du Canadiens entre 1988 et 1994. On se rappelle encore de ses trois buts lors du deuxième match de la série finale de 1993. Desjardins fut ainsi le premier défenseur de la LNH a récolté un tour du chapeau lors d’une partie d’une ronde finale de Coupe Stanley. Desjardins sera ensuite échangé à Philadelphie afin d’obtenir Marc Recchi.
#48 – Petr Svoboda
Embed from Getty ImagesProbablement le Tchécosolvaque le plus connu à avoir porter l’uniforme bleu-blanc-rouge, Peter Svoboda a marqué l’histoire en étant le premier joueur d’origine tchèque a disputé 1000 partires dans la LNH. Jouant pour le Canadiens de 1984 à 1992, il faisait partie de l’édition de 1986 qui a remporté la Coupe Stanley.
#47 – Shayne Corson
Embed from Getty ImagesParmi les joueurs de caractères qui ont porté l’uniforme du CH, Shayne Corson a une place particulière dans le cœur des amateurs. L’ailier gauche était reconnu pour être un joueur complet, excellent défensivement, mais qui sait aussi contribué à l’attaque. Évidemment, c’est son caractère et son leadership qui feront sa réputation. Corson finiera sa carrière de 1 156 matchs avec une récolte de 693 points et 2 357 minutes de pénalité. Pas mauvais pour un choix de 8e ronde lors du repêchage de 1984!
#46 – Réjean Houle
Embed from Getty ImagesAutre fier représentant de l’Abitibi sur ce classement, Réjan Houle a gagné 5 Coupes Stanley avec le Canadien. Si l’héritage qu’il aurai laissé lors de son passage comme DG du Canadien entre 1996 et 2000 est moins glorieux que celui qu’il a laissé sur la glace en tant que joueur, Houle reste un des grands de l’histoire du CH.
#45 – Stéphane Richer
Embed from Getty ImagesCertains diront que le Canadiens n’a jamais eu dans son effectif un réel marqueur naturel depuis le départ de Stéphane Richer. Dernier joueur du CH a avoir compté 50 buts en une saison, Richer effectua deux séjours à Montréal, de 85 à 91 et de 96 à 98. C’est lors de son premier séjour qu’il marquera les esprits, entre autres avec deux saisons de 50 but et une conquête de la coupe Stanley.
#44 – Patrice Brisebois
Embed from Getty ImagesÀ l’exception de l’année du lock-out de 2004-2005 et de deux saisons passé au Colorado, Patrice Brisebois a passé toute sa carrière professionnel dans l’uniforme du Canadiens. De sa sélection au repêchage, au 30e rang, en 1989, jusqu’à sa retraite en 2009, il aura rendu de fier service aux Canadiens. D’ailleurs, son retour au bercail, lors de la saison 2007-2008 fût l’une des belles histoires de cette année là.
#43 – Pierre Mondou
Embed from Getty ImagesRepêché à la fois par le Canadiens de Montréal, dans la LNH, et les Nordiques de Québec, qui jouait à l’époque dans l’AMH, Pierre Mondou a choisi le Canadiens. Il commença donc sa carrière avec le club école de l’époque, les Voyageurs d’Halifax, lors de sa deuxième saison, alors qu’il brûlait la ligue avec une retentissante fiche de 44 buts, il fut l’un des élément clé de la conquête de la coupe Calder. Mais sa saison n’était pas tout à fait fini et il fut rappeler par le grand club, qui remporta finalement la coupe Stanley. Il fut alors l’un des rare joueurs à voir son nom gravé sur la Coupe Stanley avant même d’avoir joué un match de saison en LNH.
#42 – Ralph Backstrom
Embed from Getty ImagesRalph Backstrom a gagné six Coupes Stanley dans l’uniforme du Canadiens. Malheureusement pour lui, un bon nombre de fans du Canadien s’en rappelle surtout comme la monnaie d’échange qui a permis à Sam Polock, alors DG du CH, d’obtenir le 1er choix du repêchage de 1970. Avec la première sélection, le Canadien a sélectionné un certain Guy Lafleur.
#41 – Bobby Smith
Embed from Getty ImagesPartie prenante de la conquête de 1986, ce grand centre a été acquis des North Stars du Minnesota en 1983. Son impact avec le CH fut immédiat, lui qui frôla la moyenne d’un point par match lors de ses deux première campagnes avec le Canadien. Lors de la saison 1985-1986, année de la Coupe, Bobby Smith récolta 86 points en 79 match de saison régulière.
#40 – Robert “Bobby” Rousseau
Embed from Getty ImagesJoseph Jean-Paul Robert Rousseau, on plus simplement Bobby Rousseau est né dans une famille de Hockey. En effet, ses frères Rolland et Guy Rousseau joueront eux-aussi dans la LNH. Avant de commencé sa carrière professionnelle, il a remporté une médaille d’argent lors des J.O. d’hivers de Squaw Valley. Il remporta quartes Coupes Stanley avec le Canadiens. Il est entre autres célèbre pour avoir égalisé le record de Maurice Richard de cinq buts en une partie. Bon, Rousseau, n’avait pas déménagement dans le corps, et il n’a pas accompagné l’exploit de trois passes lors du même match, mais ça reste un fait d’arme impressionnant!
#39 – Saku Koivu
Embed from Getty ImagesCapitaine du Canadien pendant 10 années, Saku Koivu est probablement l’un des joueurs le plus marquant des dernières années à avoir porté le chandail du CH. À default d’avoir remporté une Coupe Stanley, Koivu reste une inspiration entre autres pour son engagement communautaire. Celui que l’on surnomma capitaine a dû faire l’impasse sur la majeure partie de la saison 2001-2002 lorsqu’il reçut un diagnostique de cancer. Après cinq moins de bataille contre la maladie, Koivu revient au jeu pour les trois dernier match de la saison. Son retour le 9 avril 2002 fût marqué par une ovation monstre des partisans. Lors de sa carrière de 1 124 match dans la LNH Koivu obtiendra 832 points, dont 577 assistes.
#38 – Mario Tremblay
Embed from Getty ImagesOn surnommait Mario Tremblay le bleuet bionique. Bleuet parce que Mario Tremblay n’était pas peu fier de ses origines saguenéennes. Bionique parce qu’il était tout simplement infatigable comme joueur. Doté d’une détermination incroyable, Tremblay intégrera l’équipe première dès ses 18 ans et il remportera cinq coupe Stanley avec le grand club!
#37 – Jacques Laperriere
Embed from Getty ImagesDéfenseur grand format, Jacques Laperrière est un autre fier représentant de l’Abitibi. Il jouera toute sa carrière professionnelle dans l’uniforme bleu-blanc-rouge. Il aidera ainsi le Canadien a remporter 6 Coupes Stanley entre 1965 et 1973
#36 – Bill Durnan
Embed from Getty ImagesGros gardien pour l’époque (6 pieds et 190 livres), Bill Durnan a été nommé sur la première équipe d’étoiles 5 fois en plus de remporter le trophée Vézina lors de sa première saison dans la LNH. Ce titre du meilleur gardien sera le premier d’une série de série de 6. À noter qu’une aréna porte son nom dans le quartier Côtes-des-Neiges à Montréal. Cet aréna est situé au 4988 rue… Vézina! Disons que l’endroit est destiné à accueillir de grande performances de gardien de but! Et oui, à l’époque les gardiens de but pouvaient porter le “C” sur leur chandail.
#35 – Jean-Guy Talbot
Embed from Getty ImagesJean-Guy Talbot était l’une des présence les plus fiables à la ligne bleue lors des cinq conquêtes d’affilées de la Coupe entre 1956 et 1960. En tout, Talbot remportera la Coupe Stanley sept fois en treize saisons avec le Canadiens.
#34 – Jean-Claude Tremblay
Embed from Getty ImagesPassant de l’aile gauche à la défense en cours de carrière, Jean-Claude Tremblay a passé toute sa carrière professionnel au Québec. Après deux ans de vas-et-viens entre le club école (les Canadiens de Hull-Ottawa) et le grand Club, Tremblay s’établiera pour une carrière de 12 ans dans l’uniforme tricolore. Ensuite, celui qui était surnommé «J-C Superstar» jouera sept saisons de plus dans l’uniformes des Nordiques alors que l’équipe de Québec évoluait dans l’AMH.
#33 – Claude Provost
Embed from Getty ImagesClaude Provost était réputé pour sa détermination. Il fut d’ailleur le premier joueur à recevoir le trophée Bill-Masterton, remis au joueur qui se distingue par sa persévérance et son esprit sportif. D’ailleurs, si le Trophée Frank J. Selke, remis à l’attaquant le plus efficace au niveau défensif, avait existé à l’époque, Provost aurait été un candidat de choix! Provost était réputé pour museler les stars offensives de l’époques tel que Booby Hull.
#32 – Andrei Markov
Embed from Getty ImagesParmi toutes les joueurs de cette liste, Andrei Markov est le dernier à avoir porté l’uniforme du Canadiens. Frôlant les 1 000 matchs en carrière dans la LNH, tous disputé avec le Canadiens, Markov finira sa carrière comme le deuxième meilleur pointeurs à la ligne de l’histoire du Canadiens, à égalité avec Guy Lapointe. Si Markov avait eu la chance d’évoluer au sein d’équipes plus compétitives il figurerait probablement plus haut dans notre classement. Malheureusement pour lui, la faiblesse des éditions du Canadiens depuis les années 2000 n’a pu permis à Markov de mettre la main sur la Coupe Stanley.
#31 – Tom Johnson
Embed from Getty ImagesOn parle souvent du Big Three des années 70, mais dans les années 50, avec son compagnon Doug Harvey, Tom Johnson était ce qui ce faisait de mieux à la ligne bleu. Il participa aux cinq conquêtes consécutives de la Coupe entre 1956 et 1960 en plus de remporter le Norris lors de la saison de 1959.
#30 – Vincent Damphousse
Embed from Getty ImagesSélectionné par les Maple Leafs lors du repêchage de 1986, Vincent Damphousse abouti à Montréal en 1992 après un passage à Edmonton. La transaction sera payante, car le Canadiens gagnera la coupe la saison suivante. Damphousse marquera 97 points lors de cette saison. Il sera tout aussi performant en série, récoltant 23 points en 20 matchs.
#29 – John Ferguson
Embed from Getty ImagesJohn Bowie Ferguson, réputé pour sa robustesse. C’est à « Fergy » que revenait le rôle de policier. S’assurant que des vedettes tels que Jean Béliveau ne soit pas victimes de coups salaud, Ferguson marqua les esprits en jettant les gants 12 secondes seulement après le début de son premier match professionnel. Le combat s’est soldé par une victoire de Ferguson contre Ted Green des Bruins de Boston. Le message était lancé, personne ne pourra abuser des Canadiens désormais sans avoir à vivre avec les conséquences.
#28 – Mats Naslund
Embed from Getty Images« Le Petit Viking » n’avait pas un casque à cornes, mais un emblématique Torspo ou Jofa (selon les années). Premier joueur suédois à évoluer avec le Canadiens, Naslund procurait au Canadiens de l’époque un apport offensif important. À l’ombre de Lafleur en début de carrière, Mats Naslund réussira une saison de 110 points à la première campagne complète sans le célèbre numéro 10! Il est d’ailleurs le dernier joueur du tricolore a passé la marque des 100 points en une saison.
#27 – Peter Mahovlich
Embed from Getty ImagesLe plus jeune des frère Mahovlich, le « Petit M » a gagné quatre fois la Coupe Stanly, dont deux fois dans la même équipe que son frère. C’était alors le quatrième fois que des frères partageant l’uniforme bleau blanc rouge inscrivaient ensemble leur nom sur la Coupe. Élément important de la dynastie des années 70, Mahovich gagnera 4 coupes Stanley avec le Canadiens en plus de deux Coupes Calder dans la LAH, l’une avant sa carrière dans le LNH, et un autre en fin de carrière en 1981.
#26 – Chris Chelios
Embed from Getty ImagesUne réelle force de la nature, Chris Chelios a joué dans la LNH jusqu’à l’âge de 46 ans. Ce sont 1 651 matchs en tout, ce qui lui a permis d’ammaser 948 points dans la grande ligue. Sa carrière à Montréal a connu une fin abrupte en 1990. Après une soirée bien arrosée, il se disputa avec un policier de la région de Madison dans le Wisconsin. Celui-ci tentait de résister à son arrestation pour avoir uriné en public à la sortie d’un bar. La controverse était de trop pour l’administration du CH et il fut échangé à Chicago contre Denis Savard.
#25 – Hector “Toe” Blake
Embed from Getty ImagesL’aillier gauche de la célèbre « Punch Line », Toe Blake a fait partie, avec Maurice Richard et Elmer Lach, d’une des lignes d’attaque les plus redoutables de l’histoire de la LNH. Après avoir gagné une première coupe à Montréal sous l’uniforme de Marrons, il en remportera deux autres sous l’uniforme bleu-blanc-rouge du Canadiens. Après sa carrière de joueurs, il ajoutera huit autres coupes à son palmarès, derrière le blanc du Canadiens cette fois-ci.
#24 – Steve Shutt
Embed from Getty ImagesPremier choix du Canadiens en 1972, repêché quatrième au total, Steve Shutt complètait, avec Guy Lafleur et Jacques Lemaire, un autre des trios marquants de l’histoire du club. Shutt a connu une campagne de 60 buts en 1976-1977. En tout, ce sera neuf saisons consécutives de 30 but ou plus qu’il enfilera de 74 à 83., un record d’équipe. Il sera un élément offensif clé de la suprématie du Canadiens dans les années 70.
#23 – George Vézina
Embed from Getty ImagesPremier grand gardien du Tricolore, George Vézina était réputé pour être d’un calme légendaire entre les poteaux. Son surnom, le « Concombre de Chicoutimi » viendrait d’ailleur de son sang-froid incomparable. Vézina décèdera subitement de tuberculose. Même malade, le gardien insiste pour garder les buts jusqu’à ce qu’il s’affaise durant un match du printemps 1926. Suite à son décès, la LNH créa le trophée qui porte maintenant son nom, remis au meilleur gardien de but de la ligue. Lorsque le Temple de la renommée du hockey ouvra ses portes en 1945, Vézina fit partie de la première cohorte d’admis.
#22 – Emile Bouchard
Embed from Getty ImagesCapitaine pendant 8 saisons, Émile Bouchard était l’archétype du défenseur robuste, mais complet. Pouvant contribué à l’attaque par de savante passe, son impact défensif a fait de lui l’un des meilleur défenseur de son époque. « Butch » remportera quatre coupe Stanley avec le Canadiens avant d’être intronisé au Temple de la renommée en 1966, après une carrière de 785 parties dans la meilleur ligue au monde. Il aura joué toute sa carrière LNH chez le Canadiens.
#21 – Aurèle Joliat
Embed from Getty ImagesComplice du grand Howie Morenz, Aurèle Joliat était petit, fougueux et scoreur! Pour les plus jeunes, imaginez un joueur du type de Brendan Gallagher, mais en encore plus dominant. C’est simple, Joliat avait deux surnom, le « Little Giant » ou bien le « Mighty Atom ». Lorsqu’il pris sa retraite en 1938, avec trois coupes Stanley et un trophée Hart derrière la cravate, il était simplement le meilleur buteur de l’histoire du club. Il le restera d’ailleurs jusqu’à ce qu’un dénommé Maurice Richard dépassé sa marque de 270 buts.
#20 – Elmer Lach

Deuxième membre de la « Punch Line » a être listé dans notre top, Elmer Lach était plutôt du style ailier de puissance: robuste et efficace offensivement. On parle souvent de la saison de 50 buts en 50 matchs de Maurice Richard en 1944-1945. Mais durant cette saison, Lach a établi un nouveaux record pour les aides avec 54 passes en plus de remporter le championnat des pointeurs et de mettre la main sur le trophée Hart, remis au joueur le plus utile à équipe.
#19 – George Hainsworth

George Hainsworth fut le digne successeur de George Vézina. À peine un an après avoir pris le poste de premier gardien, Hainsworth fracassa le record pour le nombre de blanchissage en une saison avec 22 . Cette année-là, il n’accorda que 43 buts durant la saison, un autre record. Il remporta ainsi les trois premiers trophées Vézina à être remis au meilleur gardien de la saison. Jusqu’à aujourd’hui, celui que l’on surnommait « Petit George » détient encore le record pour le plus grand nombre de jeux blancs sous l’uniforme tricolore avec 75 blanchissages.
#18 – Jacques Lemaire

Jacques Lemaire était déjà un centre vétéran lorsqu’on lui confia su son trio deux jeunes ailiers prometteurs. Leur nom était Guy Lafleur et Steve Shutt. Le résultat fût une ligne d’attaque dévastatrice qui terrorisa les gardiens tout au long de la décénie 70. Au total, ce sera huit coupes Stanley que gagnera Lemaire dans l’uniforme du Canadiens.
#17 – Bob Gainey

L’un des meilleurs attaquant à vocation défensif de l’histoire, Bob Gainey a remporté les quatre premier trophée Selke à être remis. Le célèbre entraîneur soviétique Viktor Tikhonov avait galifié Gainey de “world’s best all-around player” (joueur le plus complet) après la Coupe du Canada de 1981. Au-delà de ses habilités défensives, Gainey était tout un compétiteur. Vous voulez un exemple? Lors des séries de 1984, Bob Gainey joua des matchs alors qu’il avait les deux épaules disloquées! C’est le genre de blessure au « haut du corps » qui empêche un être humain normalement constitué de jouer une partie de hockey.
#16 – Guy Lapointe

Premier membre du « Big Three » à être nommé sur cette liste, Guy Lapointe détient encore aujourd’hui le record du nombre de but (28) marqué par un défenseur en une seule saison. Si on met souvent Savard et Robinson dans les conversation au sujet des meilleurs défenseur du CH, « Pointu » n’est pas en reste avec ses 622 points en 894 match dans la LNH.
#15 – Yvan Cournoyer

Sa taille et sa rapidité lui valut son surnom de « Roadrunner ». Au début de sa carrière, Yvan Cournoyer est principalement utilisé en avantage numérique. Si ses habilités offensives ne faisait aucun doutes, on doutait de ses capacité à défendre dans son territoire. Mais avec le temps, Cournoyer s’élevera par son talent au-dessus de tous les préjugés de l’époque sur la taille. Il deviendra ainsi l’un des joueurs les plus titrés de l’histoire, avec 10 coupes Stanley en 16 saisons, tous joués dans l’uniforme bleu-blanc-rouge.
#14 – Newsy Lalonde

Newsy Lalonde, Édouard Charles Lalonde de son vrai nom, est la première star du Canadien. Membre de la première édition du Canadiens, il participa à la première conquête de la Coupe Stanley en 1916, avant même que la LNH soit officiellement fondée.
Si vous pensez que la rivalité Canadiens-Nordiques était parfois violente, je vous conseille de vous informer sur les altercations entre Newsy Lalonde et le joueur de Buldogs de Québec Joe Hall! Outre qu’avec son talent sur la glace, Lalonde aura été for utile au CH avec son flair de recruteur. En effet, ce serait lui qui, lors d’un passage dans l’Ouest canadien, remarqua le talent de George Hainsworth et conseilla le club d’en faire son acquisition afin de remplacer George Vézina.
#13 – Bernard Geoffrion

Il a populariser le fameux lancer frappé. D’ailleurs, son surnom de « Boom Boom » vient du bruit de la rondelle, d’abord sur sa palette, ensuite sur la bande, qui s’échapait lorsque Geoffrion effectue son drôle de lancer. Outre que pour son puissant tir, Bernard Geoffrion reste un joueur au palmarès bien établis. Que ce soit au niveau individuel, avec deux trophhées Art-Ross, un trophée Calder et un trophée Hart, ou encore au niveau collectif, avec six coupes Stanley dont cinq consécutives, il aura certainement marqué l’histoire.
#12 – Dickie Moore

Richard Winston Moore, plus connu par son sobriquet « Dickie », a connu les belles années du Canadiens. entre 1951 et 1963, il joua souvent sur la même ligne que les frère Richard. D’autres fois, il était accompagnés de Bernard Geoffrion en plus d’Henri Richard. Ses 608 points en 719 parties dans la LNH sont le témoin d’une longue et fructeuse carrière. Son numéro 12 sera retiré par le Canadiens en même que celui d’Yvan Cournoyer.
#11 – Ken Dryden

Sa position iconique devant son filet a marqué l’imaginaire montréalais à jamais. Un des rare gardien de but à avoir gagné à la fois les trophées Vézina (meilleur gardien), Calder (meilleur recrue) et Conn Smythe (joueur le plus utile durant les séries) durant sa carrière. En sept ans dans la LNH, Dryden remportera cinq trophées Vézina et six Coupes Stanley. Il prendra ensuite sa retraite et se entamera une carrière d’auteur et de politicien.
#10 – Serge Savard

Membre du Big Three avec ses complices Guy Lapointe et Larry Robinson, Serge Savard est l’un des meilleur défenseur de l’histoire. En plus de remporter sept Coupes Stanley, il sera nommé joueur le plus utile des séries (trophée Conn Smythe) en 1969. Après sa carrière de joueur, il deviendra DG du Canadiens en 1983. C’est lui qui bâtira les équipes championnes de 1986 et 1993, les deux dernières éditions à avoir remporté la coupe Stanley.
#9 – Doug Harvey

Un des premier défenseur offensif de l’histoire, Doug Harvey remportera le trophée Norris (meilleur défenseur) sept fois au cours de sa carrière. Il fit partie de la dynastie des années 50 et remportera six Coupes Stanley en 10 ans avec le club.
#8 – Jacques Plante

Jacques Plante a marqué l’histoire le 1er novembre 1959 alors qu’il fut le premier gardien de but à porter un masque lors d’une partie de saison régulière de la LNH. Lors de ce fameux match, Plante a été atteint par un tir foudroyant d’un joueur des Rangers de New York. Il se fractura le nez, et continua la partie avec un masque. Au delà de l’histoire du masque, Jacques Plante reste un des meilleur gardien de but de l’histoire avec six coupes Stanley, sept trophées Vézina. Il reste aussi l’un des rare gardien a avoir gagné le trophée Hart (joueur le plus utile de la saison).
#7 – Howie Morenz

L’une des première grande vedettes du Canadiens, Howie Morenz remporta trois Coupes Stanley avec le Canadien, en 1924, 1930 et 1931. Toutefois, six semaines après une fracture multiple de la jambe, Morenz succombera d’une embolie pulmonaire en pleine saison 1936-1937. Après son décès, le Club de Hockey Canadien retirera pour la première fois un numéro: le 7 de Howie Morenz
#6 – Henri Richard

Surnommé le « Pocket Rocket », Henri Richard a peut-être souffert de la comparaison avec son illustre frère. Si l’on oublie son nom de famille, Henri Richard reste l’un des plus grand joueurs de l’histoire. C’est d’ailleurs le joueur de la LNH qui a remporté le plus grand nombre de coupes Stanley. En effet, avec onze championnat, il ne détient pas juste record de titres de la LNH, mais aussi celui de toutes les grandes ligue nord-américaine.
#5 – Patrick Roy

Une coupe Calder, quatre coupe Stanley, trois trophée Vézina, cinq trophée Jennings (remis aux gardiens de l’équipe ayant accordé le moins de but), trois trophées Conn Smythe… et un clin d’oeil! Patrick Roy reste célèbre pour être l’un des meilleurs gardien de l’histoire, et la cible d’une des pire transactions de l’histoire du Canadien.
#4 – Larry Robinson

Surnommé le Big Bird, référence au personnage de Sesame Street, lorsque Larry Robinson a pris sa retraite, il occupait le premier rang de l’histoire de la LNH avec un différentiel de +722. Il a gagné six coupes en tant que joueur (et trois en tant qu’entraîneur). Le grand défenseur est l’archétype du défenseur complet à gros gabarit: gros, grand et fort tout en étant rapide et habile.
#3 – Guy Lafleur

Guy! Guy! Guy! Sélectionné au premier rang du repêchage amateur de 1971, Guy Lafleur est probablement le joueur le plus marquant de la dynastie des années 70. Il y a été le meilleur pointeurs de la saison trois années de suite entre 1975 et 1978. Mais au-delà de ses exploits personnels, c’est sa chevelure volante, jumêlé à son coup de patin torrentueux, qui marquera sa gébnération et lui vaudra son surnom de Démon blond. Bon, avouons aussi que ses 1 353 points en 1 126 parties contribue aussi èa faire de Guy Lafleur la légende qu’il est aujourd’hui!
#2 – Maurice Richard

La question tourmentera à jamais les historiens et les journalistes. Qui est le meilleur joueur de l’histoire de la Sainte-Flanelle? Maurice Richard ou Jean Béliveau? Bien honnêtement, les deux méritent la palme. Maurice Richard est l’un des rares athlète à transcender son sport. Il a marqué l’histoire de son peuple.
Ses actions, autant sur la glace qu’à l’exterieur, mettra fin au traitement discriminatoire dont les joueurs francophones étaient victimes. D’ailleurs plusieurs historiens mentionnent l’émeute de 1955, une révolte populaire causée par une suspension douteuse à Richard, comme le point de départ de la révolution tranquille.
Mais au delà de sont impact culturel, Maurice Richard reste l’un des joueurs les plus électrisants de l’histoire de la LNH. Celui qu’on l’on surnommait le Rocket fut le premier joueur de l’histoire à marquer 50 buts en 50 matchs et le premier marqueur de 500 buts de l’histoire.
#1 – Jean Béliveau

Est-ce ses 10 coupes Stanley, est-ce ses honneur individuels (deux trophées Art, un trophée Art Ross et le tout premier trophée Conn Smythe de l’histoire) ou encore le fait que le Canadiens n’a manqué les séries qu’une seule fois parmi les 19 saisons où Béliveau a porté le chandail du CH?
Non. Bien que Jean Béliveau soit l’un des meilleur de l’histoire, ses exploits personnels ne sont pas la raison pour laquelle il se retrouve en première position. Comme le raconte lui-même le grand homme dans sa biographie: “Tout ce que j’ai accompli tout au long de ma carrière, et toutes les récompenses qui ont suivi, sont le fruit d’un effort d’équipe”. Pour Jean Béliveau, il n’y avait pas de meilleur compliment que “joueur d’équipe”. Et c’est parce qu’il représente le concept d’équipe avant tout que nous l’avons placé en première position. Car au-delà des qualités individuelles de ces 50 grand joueurs, il restera toujours quelque chose de plus que la somme de leur talents individuels. Derrière leurs statistiques, derrière le “C” et le “H” qu’ils arboraient fièrement, se trouve des coéquipiers, des entraîneurs, du personnel de soutient et aussi des partisans passionnés.